Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Migration

Par centaines de milliers s'envolent les oiseaux,
Mimant dans le ciel le long roulement des flots,
Noircissant le ciel de noirs nuages,
Se rangeant par bataillons entiers,
Battant l'air de leurs ailes effilées,
Ils se préparent à un long voyage.

Transformant le ciel bleu en étendue cendrée,
Affluant et refluant telle la marée,
Ils composent une unique entité,
Ses cent mille ailes battant l'air gelé,
Aussi mouvant et fluide qu'une idée,
Nuées d'oiseaux, Ciel tu es fardé.

À cette assemblée sont conviés tous les oiseaux.
De l'orgueilleux ramier au modeste moineau.
Taches de lumière, viennent les blanches colombes.
Au chaud, les paresseux canaris,
Apprivoisés contemplent sans envie,
Ceux qui partent faire le tour du Monde.

Les oiseaux exotiques aux colorés plumages,
Les sublimes volatiles aux mélodieux ramages,
Voyant ce spectacle brisent leurs cages,
S'envolent dans ces nuages noirs.
Libres, semant ça et là, épars,
Quelques rares taches de couleur sauvage.

Lorsque les oiseaux ont remplient le ciel de leur masse,
Qu'il ne reste plus entre leurs plumes plus le moindre espace,
Dans ce que tentèrent d'entendre nombre sages,
Un ancien et inaudible langage,
Fut entendu un unique message,
''En route! Commençons notre voyage!''

Ans après années, ce rituel ancestral,
Se répète dès que l'Hiver laisse tomber son voile.
Ce que nos contrées comptent comme oiseaux,
Quittent cette terre qui les à vu naitre.
Ils reviendront y trainer leurs guêtres,
Mais pour l'heure, partent pour des pays chauds.

Si seulement je pouvais faire comme eux! Partir loin!
Quitter pour une saison mes malheurs quotidiens!
Mais je ne peux pas quitter mon nid.
Alors je prends mon courage à deux mains,
Et emprunte les chemins qui sont les miens.
Mon voyage rêve de poésie.

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