Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Hypocrisie, je te hais

Il n'y à rien que je déteste plus en cet instant que l'hypocrisie générale qui semble être de mise à notre époque. Rabelais s'esclafferait de nous voir comme les moutons de Panurge, toujours aller là ou il faut, comme il faut. En quoi est-ce en rapport avec l'hypocrisie? Pourquoi faut-il que d'un même mouvement les humains giflent celui qui rit et compatissent celui qui pleure? Je ne l'explique que de la façon suivante : quelqu'un qui est joyeux, plus joyeux que nous, nous énerve car il semble connaitre un bonheur supérieur au notre. A l'inverse, quelqu'un de triste que nous pouvons consoler nous conforte dans un sentiment d'acte de charité. Le pauvre, il est triste ! Consolons-le. Ah ! Que je suis gentil ! Que je suis une personne charitable et généreuse ! En plus, dans notre esprit, une idée germe : celle que la personne à laquelle nous venons de dire "ça va pas ?" nous est débiteur de notre attention. Soyons honnêtes, si nous nous préoccupons des malheureux, c'est par confort moral, par désœuvrement et par une fascination morbide et écœurante à écouter les malheurs des autres. Un journal vendra plus de papier si sa première page annonce "Milliers de morts sanglantes dues à la bêtise humaine" que si elle annonce "La paix est là, le monde est beau, tout est bien". Nous disons que nous désirons la paix et la bonté dans ce monde barbare, mais c'est la mort et la cruauté dont nous nous délectons. Tant pis ! C'est dans notre nature humaine. Mais par pitié, assez d'hypocrisie !

2 commentaires:

  1. Malgré tout ce que tu as évoqué dans ta réflexion ci-dessus, je ne suis pas entièrement d'accord avec toi. Surtout quand tu dis que quand on console quelqu'un c'est pour notre bien être moral, pour avoir bonne conscience. Certaines personnes je te l'accordes sont ainsi et font cela pour se donner bonne conscience mais heureusement tout le monde n'est pas comme ça. Il y a des gens qui se préoccuperont bien plus de la santé moral des autres que la leur. Bien que ces personnes là sont rares, elles existent.
    Et quand tu dis "assez d'hypocrisie", c'est presque impossible de le faire car malheureusement au fond de nous nous sommes tous hypocrites même si on ne le veut pas et parfois nous n'avons même pas conscience que l'on est hypocrites. Après il y a plusieurs sortes d'hypocrisie et il y en as qui sont hypocrites parce qu'ils le veulent bien.

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  2. Bien sur que l'humanité n'est pas réduite à une bande d'hypocrites. Je me place du point de vue d'un être qui ne comprendrait pas le mensonge, même pour faire le bien. Je n’espère pas voir l'hypocrisie disparaitre avant l'extinction de l'homme mais je souhaite simplement provoquer chez le lecteur un raisonnement qui mettrait en évidence la nécessité pour lui de faire preuve de compassion.

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Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.