Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Mélancolie

Parfois, sans prévenir, l'abattement,
M'emplit et affaisse mes épaules.
Il me mine le moral sournoisement,
Et me rend pleureur comme le saule.

Au-dessous de mes yeux il creuse ses cernes,
De sa main glacée il courbe mon échine.
J'étais rieur, je suis maintenant terne,
Le saule meurt, on a tranché ses racines.

Contre ça, toute résistance est vaine.
C'est comme essayer de se dépêtrer
De la toile dont l'araignée est reine.
Vous avez beau lutter, vous êtes piégé.

Prostré même si vous ne savez pourquoi,
De votre esprit la peine fait son domaine.
Elle vous emplit et vous restez là,
Vous sentez des larmes couler dans vos veines.

Un filtre gris se glisse devant vos yeux,
Les plus beaux paysages perdent leur charme.
Un monde radieux vous paraît ténébreux,
Vous voyez votre vie pleine de drames

Ces terribles périodes d'abattement,
Qui parfois peuvent pousser quelqu'un au pire,
Elles se guérissent, mais difficilement,
Leurs remèdes sont l'amour et le rire.

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