Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Amour d'automne


Te souviens-tu de ce banc, ce banc si vieux?
Ce banc où nous nous sommes rencontrés naguère.
Te souviens-tu de ce banc, de ce banc bleu?
Où nous regardions couler la rivière.

Un jour d'automne, lorsque je m'y suis rendu,
Le ciel, la rivière et le banc étaient bleu.
Et lorsque tout à coup je t'ai aperçue,
Je suis tombé éperdument amoureux.

Je me suis approché de toi doucement,
Au milieu de ce paysage mordoré.
Tu as tourné vers moi ton visage blanc,
Dans tes yeux, mon amour était partagé.

Cet amour nous consuma telle une flamme.
Nous brulions d'un feu aux couleurs d'automne.
Rien ne pouvait calmer le feu de nos âmes,
Que batte la pluie ou que l'orage tonne.

Nous vivions une vie emplie par l'amour,
Par ce genre d'amour qui rime avec ''toujours''.
Aux bruits de l'extérieur il nous rendait sourds,
Et dans la nuit noire pour nous brillait le jour.

Assis sur ce banc, ensemble, main dans la main,
Nous regardions couler le joyeux torrent.
Ce banc, de nos premiers amours fut témoin.
Coule l'eau, coule l'amour, coule le temps.

Et lorsque la saison des feuilles mortes revint,
Elle ne trouva pas deux amants passionnés,
Mais moi serein et elle, portant en son sein,
Un petit ange blanc de nos amours né.

Un petit ange blanc aux grands yeux azurés,
Un petit ange blanc aux cheveux mordorés.

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