Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Ballade du marcheur errant

14/02/2011
Lentement je m’habille de laine,
J’enfile mes bottes de cuir tanné,
Je saisi ma canne de frêne,
Je pars pour une longue randonnée.
Je pars, nul ne peut m’en empêcher,
Par-delà monts, déserts, mers et forêts,
Tant que mes pieds pourront me porter,
C’est au bout du temps que je m’en irai.

J’envoie au loin tout ce qui me frêne,
Puis je pars par le chemin opposé,
Las des chaines de fer, les grands chênes,
Qui de leurs branches semblent m’indiquer
Mon parcours, tremblent de fierté,
De voir que malgré tous les attraits,
Qu’offrent les synthétiques cités,
C’est vers le bout du temps que je vais.

Marchant, j’ai purifié mes veines,
Pas à pas, j’ai lavé mon sang souillé,
Après l’avoir purgé de la haine,
De douces secondes je l’ai gorgé,
Plaines irradiantes de beauté,
Ont soudain prient la place des marais.
Glissant sur la terre à pas feutrés,
Un jour, au bout du temps j’arriverai.

Marchant hors de la réalité,
Les années, les mois, les jours défilaient,
Et je me suis enfin arrêté.
Joie, car c’est au bout du temps que j’étais.

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