Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Adieu

06/02/2011

-Homme heureux, qu’as-tu fait de ton sourire ?
-J’ai brisé ses chaines, je l’ai laissé s’envoler.
-Quelle humeur tes lèvres vont-elles accueillir ?
-Celle de celui qui n’a pas fini de chercher.
-Pourtant n’as-tu pas tout pou ton bonheur ?
-Si, mais je pense qu’il y a autre chose ailleurs.

-Je veux m’en aller aussi loin que possible,
Je ne suis pas malheureux ici, au contraire,
C’est un besoin ineffable, indicible,
Je dois m’en aller sans regarder en arrière.
Et pour cette raison je selle mon cheval,
J’irai bien au-delà du feu des étoiles.

-Seul un fou peut raisonner de cette manière,
Vois, tu nage dans une mer de bonheur.
Tu risque  de te noyer dans des larmes amères,
Si comme je le pense ta quête est une erreur.
Mais tu es libre. Vas, je ne te retiens pas.
Si tu dois partir, fais-le et ne reviens pas.

1 commentaire:

  1. J'aime beaucoup, la forme dialoguée, et surtout les 4 premiers vers, d’une redoutable simplicité.Ce texte est beau. bon je poste un deuxième ayrgl, alors ;)...

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Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.