Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 25 juillet 2011

Léa

20/03/2011
Léa
Léa, tu te tiens là, cheveux de feu,
Et tempérament tout autant brûlant,
Ainsi tu chauffe ta vie d’un feu joyeux.

Léa, tu te tiens là, cheveux  de vent,
Et tempérament tout autant léger,
Ainsi tu file ta vie de soie feutrée.

Léa, tu te tiens là, cheveux mouillés,
Et tempérament aussi passionné,
Ainsi coule ta vie le long de tes nattes.

Léa, tu te tiens là, cheveux ocrés,
Et ta force brille dans tes yeux d’Agathe,
Ainsi tu vis contre vents et marrées,

Léa, tu te tiens là, cheveux de sang,
Et tempérament tout aussi vivant,
Ainsi tu vis sans te laisser mener.

Léa, tu es comme ça, ne change pas.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.