Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 5 août 2011

Théologie Sociale


Et si l'on repensait aux dieux anciens?
Vous savez, les dieux grecs ou latins,
Dont les cultes étaient beaucoup moins tristes ,
Que ceux des grandes religions monothéistes.

Ce que l'on observe si l'on cherche bien :
Leurs essences sont au fond de chaque humain.
Ces théologies étaient simples en somme,
Elles incarnaient les caractères des hommes.

Le dieu présent dans toute l'humanité :
Mars, Arès, au sillage ensanglanté,
De sa main furent détruits maints empires,
C'est sa main qui poussa les hommes au pire.

Dieu infiltré jusqu'à la moelle de l'os :
Le latin Bacchus, le grec Dionysos,
De tous les vignerons le protecteur,
De l'éternelle ivresse le détenteur.
Les hommes, face à une nature féroce,
Ont le feu pour s'éviter quelque bosses.
Héphaïstos a une raison d'être né
Sans le feu pas de forge (merci Prométhée).

Vulcain présenta aux hommes le métal,
Avec lui, ils firent des armes qui font mal.
Glaives, lances, arcs n'eurent pas pour maitre qu'Arès,
Ils servirent Diane, la déesse chasseresse.

Athéna, déesse de l'intelligence,
Les employas mais uniquement dans un sens :
Défendre la justice dont elle est souveraine,
Apporter la victoire contre les flots de haine

Inspirés par la rurale Déméter,
Riz, épeautre,blé et orge les hommes plantèrent,
L'agriculture ils développèrent,
De Gaïa leur nourriture ils tirèrent.

Si Aphrodite fais de la vie un conte,
Si l'homme au septième ciel monte,
S'il dédie la pomme d'or à Vénus,
Il trouvera son Hélène, bonus ou malus?

Si bonus, déesse Héra intervient,
Et le couple par le mariage se maintient.
Si malus, aucune union n'est créé,
Et Junon peut aller se rhabiller.

Certains humains ont Mercure dans le sang.
Ceci voyagent et s'arrêtent rarement.
Mais qu'ils voyagent sur mer ou terre,
Ils reviennent toujours à leur terre mère.

Mais la terre mère, chez certains c'est la mer,
Et la mère, du partage entre les trois frères,
C'est à Poséidon qu'elle à échouée,
À présent, par Neptune elle est gérée.

Parmi nous, moins présent est Jupiter,
Zeus, le dieu impérieux, autoritaire,
Qui possède les grands leaders planétaires,
Ceux qui combattent, qui réduisent en poussière.

Certains sont disciples du dieu Apollon,
Sans relâche ils recherchent l'inspiration,
Que ce soit chez Hermès ou Artémis,
Ils attendent tous qu'une des muses leur sourit.

Mais qu'on soit habités par Arès,
Héphaïstos, Diane, Bacchus, Zeus, Hermès,
Que l'on soit possédés par Apollon,
Aphrodite, Neptune, Cérès, ou Junon

Nous sommes au maitre de la corne d'abondance,
Chez lui, les damnés connaissent l'errance,
Il se nomme Pluton, dieu vivant sous Terre,
Il se nomme Hadès, le dieu des enfers.

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