Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 5 août 2011

Aux crins de l'Afrique.



 Au retour du soleil le cœur se fermera,
Car à l'aube précédente il s'était ouvert,
Et lorsque l'astre solaire à surgit de la mer,
Voulant toucher la roue de feu le cœur se brûla.

L'eau à vue sur ses ongles s'écouler le sang,
Sur la nuque du cheval la vie à hurlée,
Aux caprices du vent, Sable s'est arraché,
Et l'animal sans tête à brisé son carcan.

Être et âme se complètent, et la vile violence,
Laisse assez de failles pour que l'esprit ait sa chance,
Dans un monde où les braves passent pour des fous,
L'œuf enfin brisé laisse s'envoler l'oiseau,
Une de ses bouches embrasse, l'autre montre les crocs,
Peuples qui se battent, votre destin est à vous.

Ce poème, vous l'aurez compris, est adressé aux habitants des pays d'Afrique du nord qui se battent et meurent chaque jour pour pouvoir se libérer d'un carcan trop longtemps porté. Car un jour d'asservissement est déjà trop. Ces hommes et ces femmes qui meurent, ils meurent libres.

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