Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 26 août 2011

Le fil de la haine


10/01/2011

Une insulte est comme une lame découpant la chaire,
Comme une estafilade faite par une lame hideuse,
Les balafres deviennent de plus en plus nombreuses,
Quand elles suivent le même tracé que la première.

Le temps et le sel des larmes font cicatriser,
Sur la peau il ne reste plus qu’une sombre tâche,
Si sensible que la plus petite griffe l’arrache,
En refaisant couler le sang si fatigué.

Ô noires vipères ! Vous n’avez pas votre pareil,
Pour de vos sifflement lacérer les oreilles,
Pour dénicher et mordre les blessures anciennes.

De vos visqueux anneaux surgissent les horreurs,
Celles se précipitant pour dévorer les cœurs,
Et à la place du cœur déverser leur haine.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.