Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 5 août 2011

La Comédie Humaine


18/03/2011
 

Entrez donc mesdames et messieurs,
Car la comédie des anti-dieux,
Est fort honteuse de vous présenter,
Hier, demain et tous les jours de l’année,
Un spectacle de souffrance, de haine,
Oui, voici LA COMEDIE HUMAINE.
Humanité, laisse-moi te crier,
Tout ce que de toi l’on put penser.
Tu es belle comme un mammifère,
Qu’aurais passé trois semaines en terre,
Tu es aimable comme un chien de riche,
Une sorte de croisement bouledogue-caniche,
Tu es de la fraicheur d’un concombre,
Mis en plein soleil 50 à l’ombre,
Tu es tendre comme une motte de beurre,
Qui sortirait du congélateur,
Ta peau de satin est de la douceur,
Des poils de sanglier, sans erreur,
Tu es aussi blanche qu’une sourie,
Qui habiterait une fosse à suie,
Tu es aussi légère qu’une plume,
Que l’on aurait coulé dans une enclume,
Tu es aussi joyeuse qu’un bal,
D’asticots sous une pierre tombale,
Tu es amicale comme une verrue,
Lorsque tu t’accroche tu ne part plus,
Tu donnes envie d’avoir un câlin,
Presque autant qu’une fosse d’oursins,
Tu es vive comme un morceau d’anchois,
Et possède le Q.I. de sa pizza,
Tu es raisonnable comme un pochard,
Noyé dans une barrique de pinard,
Tu possède le même respect,
Qu’un salopard sans guillemet,
Ta prestance est autant faite d’or,
Qu’une bille est carrée et encore,
Tu es d’une propreté éclatante,
Telle une bouteille de sirop de menthe…
Où donc ton honneur est-il passé ?
… Je m’en doutais, il a trépassé.
Voici ce qu’on peut dire de toi,
Et ce n’est qu’un aperçu étroit,
De ta connerie monumentale,
Car si la bêtise est bien bestiale,
C’est la connerie qui est humaine,
Et sans ta disparition amène,
Qui sait jusqu’où elle serait allée,
Heureusement tu t’es suicidée,
Tu aurais dû y penser avant,
Tu t’es noyée dans ton propre sang,
Par malheur, jusqu’à la fin tu n’ose,
Regarder en face toutes ces choses,
Car tu n’as jamais employé ta verve,
Permet donc que moi je m’en serve.

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