Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 5 août 2011

Logogriphe 1


Je suis tout pour vous, mais rien pour l'infini,
Je suis votre maison ainsi que votre lit.

Vous me suivez, même si quelques uns s'insurgent,
Vous allez là où je vais, moutons de Panurge.

Je recouvre la Terre tel une cloche à fromage,
Mais déçu je devient si l'on m'ajoute de l'âge.

La fontaine me rend pure, ainsi que boisson
Pour jeunes ovins, datant de la dernière saison.

Je suis chez chacun, mais à chaque fois différent.
Vous m'avez depuis toujours, grâce à vos parents.

Moi aussi vous me possédez dès la naissance,
De forme variée avec plus ou moins d'importance.

Anagramme du premier mot de ce logogriphe,
Pour votre malheur je le tiens entre mes griffes.

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