Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 2 septembre 2011

Sept lignes pour prendre son temps

Parfois, au creux de l'angoisse, fermer les yeux, et réfléchir.
Parfois, au creux du chagrin, fermer les yeux, et réfléchir.
Parfois, au creux de la haine, fermer les yeux, et réfléchir.
Parfois, au creux d'une paupière, regarder la larme qui attend.
Parfois, au creux de sa main, écouter la peau qui murmure.
Parfois, au creux d'une branche, sentir la sève qui se pâme.
Parfois, au creux d'un poème, goûter les mots qui s'embrassent.

3 commentaires:

  1. Dis-moi cher poète, pourquoi sais-tu écrire des choses aussi belles ?

    RépondreSupprimer
  2. Hum, j'écris ce que je ressens, ce que je pense, ce que je crois, rien d'autre.

    RépondreSupprimer
  3. Cher trikopp, balade du macroscopique au microscopique ressenti, du sentiment humain à l"'écoute biologique". Voilà comme je vois, je sens vos quelques vers. Merci ! Et bravo !
    Gal- le petit français.

    RépondreSupprimer

Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.