Parfois, au creux du chagrin, fermer les yeux, et réfléchir.
Parfois, au creux de la haine, fermer les yeux, et réfléchir.
Parfois, au creux d'une paupière, regarder la larme qui attend.
Parfois, au creux de sa main, écouter la peau qui murmure.
Parfois, au creux d'une branche, sentir la sève qui se pâme.
Parfois, au creux d'un poème, goûter les mots qui s'embrassent.
Dis-moi cher poète, pourquoi sais-tu écrire des choses aussi belles ?
RépondreSupprimerHum, j'écris ce que je ressens, ce que je pense, ce que je crois, rien d'autre.
RépondreSupprimerCher trikopp, balade du macroscopique au microscopique ressenti, du sentiment humain à l"'écoute biologique". Voilà comme je vois, je sens vos quelques vers. Merci ! Et bravo !
RépondreSupprimerGal- le petit français.