Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



vendredi 24 juin 2011

Lame


24/04/2011
Je coupe la ficelle brune,
Qui relie la terre effritée,
Aux tours inversées de la Lune,
Enterrées dans sa face cachée,
Des ombres de vélos sans âme,
Roulent sur la piste de gravier,
Et je vois s’écouler des flemmes,
Sur l’annuaire de mes pensées…
Des échos dans les couloirs morts,
Frappent des cris sur les paliers,
Leurs orbites dévient vers le nord,
En un gyroscope désaxé.
Les derniers chants battent mes lobes,
Qui refusent de les faire entrer,
En les poches du manteau du globe,
Qui remplace ma tête brisée.
Les ultimes anneaux de l’union,
Se brisent dans un éclair peiné,
Montagne haute, gouffre profond,
Des sentiments au bras glacé…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.