Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 22 octobre 2012

Le Courant


Sonnet en douze vers du 2 octobre 2012
Mêlant l’eau à son air, la lune s’est maillée,

De sous son masque ombré, de sous ce minois fier,

Du galet blanc nacré coule en flots un éther,

Comme un air bleu de mer, un cours d’or irisé.


Boucles d’onde à refaire, palme claire taillée,

Qui sous le vent soufflé caresse l’eau de pierre,

Qui sur le flot marbré de rides et de mystère,

Fait des traits de ton frère la lame cadencée.


Dessus le plan dressé d’eau allumée d’aurore,

Brillent les cent trésors de la reine passée,

Amis, amours couchés au flot se montrant fort,

Par le flux vont vos corps d’un linceul d’eau drapés.
 
 
 
 
EXPLICATIONS
L'alexandrin étant un vers très long, il est préférable de le rythmer selon divers procédés comme des marquages de césures ou des coupes. Ici, remarquez le rythme crée par les rimes aux hémistiches (au milieu du vers).






Un sonnet se compose quatorze vers. Mais ici, il en manque deux.
Ces deux vers se trouvent en lisant, pour le premier, la première voyelle du premier vers, puis la deuxième du deuxième, la troisième de troisième et ainsi de suite jusqu'à obtenir un alexandrin. Pour le second, il faut lire la première syllabe du dernier vers, la deuxième de l'avant-dernier, et ainsi de suite.
Voila le schéma qui vous permettra de décoder le poème pour obtenir les deux vers manquant :
 

 

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Si vous laissez un commentaire, tentez d’écrire en entier et avec un vocabulaire correct. Les fautes d’orthographes sont bien sûr tolérées car moi-même je ne suis pas à l’abri d’une hérrRoeure. Cependant, je vous prie de faire preuve de courtoisie et de ne pas user de l’anonymat pour laisser libre cours à la grossièreté.