Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



mardi 16 octobre 2012

Le Cimetière raillé


 

Dans un jardin d’ossements, un joyeux cimetière,

-Joyeux car le vent et le temps, de leurs efforts,

Ont renversé les tombes, dispersé les bières,-

Raille dans son chaos la vérité des morts.

 

Les grands mausolées  taillés de couteuses pierres,

Les dalles ciselées de noms en lettres d’or,

Gardant l’éternité de corps mêlés de terre,

Ne sont plus que des ombres fauchées par l’Aurore.

 

Dans ces temples d’orgueil, il était un caveau,

Mis sur un homme mort d’un gonflement d’égo,

Sa tombe si riche qu’elle brillait sans lumière.

Elle gît maintenant dans la boue du matin,

Et tombé à côté, brisé sur son calvaire,

Le Christ les yeux au ciel se moque du défunt.




 

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