Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



lundi 26 décembre 2011

Premiers pleurs sur mes rêves

Je pense aux légendes, et aux contes qui ont bercés pour beaucoup l'enfance. Les avons-nous relu depuis, ces histoires merveilleuses, ces récits fantastiques qui nous faisaient rêver ? Avons-nous lu la version originale du Petit Chaperon Rouge ? Le chasseur n'arrive pas, et la grand-mère meurt, suivie de près par sa petite-fille. Dans ces contes, tout le monde bataille, se trompe, se trucide, aucune morale comme l'on voudrait bien le croire. Le conte ne cherche pas à montrer le bien, mais à montrer le monde. Certains accomplissent des exploits au péril de leur vie, et cèdent de bon cœur les profits à d'autres (nul besoin de chercher : voyez le chat botté). Des seigneurs enferment durant des décennies leurs épouses ou leurs chevaliers dans un cachot, sans réfléchir, d'autres se lancent dans des guerres meurtrières pour une simple frustration. Et pardon, voyez la place de la femme. Si un malheur prend un homme ou un royaume, c'est que la femme n'a point tenue sa langue. Si un seigneur désire épouser telle ou telle fille, on lui donne sans dire un mot de ce que ressent sa dame. Où sont les beaux contes de nos sept ans ? Ces jolis contes tout roses, sont-ils toujours aussi roses du haut des années d'éveil qui se suivent ? Pourquoi n'ouvre-t-on les yeux que pour mieux pleurer ? Le Petit Chaperon Rouge , ne se trouve-t-il pas mieux vivant dans les yeux d'un enfant que mort dans le cerveau d'un adulte ?

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