Salut,

Salutations, navigateur des flux numériques. Je ne sais par quelle chaine événementielle tu ouvris cette page de mon jeune blog, mais je t'invite à t'y intéresser, aussi passagère soit ta venue. Quelques mots d’explication : j'aime la poésie, tu t'en seras douté au nom de ce blog. Mais j'aime également réfléchir, m'interroger, pousser des raisonnements alambiqués souvent dans le seul but de penser. Voila donc "Le Réflecteur Poétique". Même si tu n'aimes ni la poésie, ni réfléchir (qui sait), ni plus simplement la littérature, ne claque pas la porte de mon blog avec horreur et dégout. Je tenterai par tous les moyens d’intéresser ou tout du moins d'interpeller tout visiteur. Maintenant que je t'ai décris sommairement ce lieu, je t'invite à y passer un moment, et à y revenir. Et surtout, n'hésite pas à laisser des commentaires.


Actualités

OH OH OH !

Disparu que j'étais, depuis plus d'un an. Je vais reprendre tout ça en main.

La plupart des textes de ce blog me paraissent bien fades avec le recul, sans compter le fait qu'ils sont truffés de fautes de métrique !

Je ne sais encore ce que je vais faire. Sans doute créer un nouveau blog et repartir de zéro. D'autant que mes aspirations ont changé.

Nous verrons. S'il en est qui passent parfois ici, voyez ce message !



dimanche 2 septembre 2012

Rien



 

Rien,
Le vide,
Si liquide,
Et si commun,
Comme un brouillard,
Qui fluctue,
De rues,
Noires.
Villes,
Sans pierres,
Sans carrières,
Restent immobiles,
L’on attend plus,
Que les anges,
Qui changent,
Muent.

Rien dans le monde ne vit encore,
Incompétent le temps ralentit,
Et  ne fait glisser ni vie, ni mort,
Ni marée, ni mémoire, ni oubli.

C’est comme une glace autour du feu,
Existant sans avoir commencé,
Sans suivre, aveugle, la pensée d’un dieu,
Tranquille, sans fin, sans but, figée.

Et le monde dure d’an en année,
Toujours le même et inchangé, vide,
Rangé dans un vieux tiroir sans clé,
Et sans miroir qui compte les rides.

Vide et inexistant le néant,
Idéalise un ordre parfait,
Dressé par des compas de géant,
Éliminé de tout ce qui est.
Rien, c’est être vide.

29/08/2012

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